Chanson québécoise: Musique francophone d'Amérique, Quadrille et Orchestre de Montréal et du Canada

Vous rêvez d'une cabane au Canada? Avec parfois un vieil indien pour seul voisin, comme chante Line Renaud? Ce n'est pas gagné d'avance, surtout si vous êtes frileux (et pas bricoleur pour un sioux), mais la musique québécoise offre sans doute une des plus belles aventures artistiques de la Terre libre: face aux influences des plus grandes puissances, elle a préservé une esthétique francophone unique et finalement universelle, à ranger parmi les plus grands idéaux de la France des Lumières et de l'Amérique qui fait rêver depuis des... lustres.

 

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D'abord dans cette "Nouvelle-France', il y avait les Indiens, ou plutôt les Amérindiens, puis le navigateur Jacques Cartier envoyé par François Ier, alors que la civilisation orale des hurons ou des iroquois se métisse avec les chansons écrites des missionnaires. Surviennent Rousseau et le "mythe du bon sauvage" et surtout la cession de la Nouvelle-France à l'Angleterre en 1763. Et face à la menace de la langue anglaise, la chanson québécoise se replie et se rebiffe, comme aussi face à l'hégémonie américaine. L'hymne "O Canada" naît à Québec en 1880

 

Indien huron du Canada sur bison trappeur sur canoe et gendarme sur orignal improvisant et chantant le quebec pour une animation deambulatoire dans un parLe Québec Libre, en Chanson, Opéra-Rock et Comédie Musicale

 

L'influence Country et Western vient ébranler dès les années 40 la chanson canadienne. C'est le chansonnier, auteur-compositeur-interprète, Felix Leclerc qui ranime le Phare québécois jusqu'en France, avec son concept social de libération, suivi de Gilles Vigneault: ils vont transcender le complexe du colonisé qui voit en la culture anglo-saxonne un synonyme d’envahissement de son territoire.

 

Vivent aussi le désir et le féminisme lorsque Diane Dufresne rencontre "l'homme de sa" vie ou Diane Tell se demande "Si j'étais un Homme". Par contre le roi Charlebois moins chansonnier que rocker psyché semble élargir le Québec aux sons folk et sud-américains. En 1980, le Québec ne devient pas indépendant après le référendum, mais juste avant aura lieu le vrai big-bang de la musique québécoise avec la création de L’opéra-rock Starmania, de Luc Plamondon et Michel Berger à Paris au Palais des Congrès, suivront les comédies musicales "la Légende de Jimmy" et "Notre de Dame de Paris".

 

Et aussi quel feu d'artifice de voix féminines, Carole laure, Dion, Lemay et quel bel alliage entre chanson à texte, pop, romance... Allez tout de suite revoir Montréal mais aussi les Grands Lacs des tribus indiennes des Hurons et des Iroquois, dansez la gigue et le quadrille et chantez français à pleins poumons sous les plus grands horizons, c'est le Québec pour votre événement et vous vous en souviendrez 1000 ans! ©

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